Steparta написал:
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Здравствуйте, помогите пожалуйста, по возможности, если откроется, посмотреть информацию не из древа, а по всей видимости, из французской газеты.
Ссылка копируется неверно постоянно - с отсылом на платный поиск.
Ну может так сработает?
https://www.myheritage.com/FP/...Id=5459927
Поэтому, через поиск
В имени вбиваю: Силантий Арефьевич/ фамилия Бурматов
Либо Зиновия Григорьевна/фамилия Бурматова
По обеим персонам (мои прямые прапредки) выдает ссылку на какую-то газетную статью.
Буду очень благодарна!
Результаты можно здесь или на почту steparta @ уandex ru
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Illeili encore dans les retards des ouvriers aux heures du travaIl, dans
l'abandon de l'atelier sans autorisation, dans l'ivro- gnerie, les pugilats
entre ouvriers, etc. Les comités des Unions professionnelles, pas plus que les
agents de la milice ne peu- vent intervenir du fait qu'ils sont le plus
souvent mêlés à ces désordres. Le bassin de Donetz se distingue par les rixes
tre gens pris de boisson et par des accidents provoqués par "inten-'Péran.ce
des victimes, par des actes de brigandage, etc,.
ans la région des mines de Bokavokhroustalni, il a été bu P Us de 7.000
seaux de vodka, de vins et bières. Parallèlement jjj* chômage volontaire
pratiqué ordinairement par 25 ou no 0/0 des ouvriers et atteignant les jours
de paye de 50 à N 0/0, la production baisse dans d'importantes proportions.
* Nombre d'ouvriers de relève, la nuit, dorment au lieu de travailier.
If La Rabot chai a Gazeta (15-3) signale un relâchement pro- ; tesslf
de la discipline dans les divers établissements indusj lels d'Odessa. C'est
ainsi qu'à la fabrique de charrues, les : sences illégales des ouvriers ont
atteint le mois dernier un S dotal de 1.427 journées; à l'usine Marty,
d'Odessa, le nombre des absences s'élève à 1.191 journées, à la sucrerie elles
s'élè; eut à 700 journées et à la fabrique d'articles en jute, le total es
absences injustifiées atteint 2.500 journées. De plus, on onstate de
fréquents arrêts dans le travail, causés le plus souvent, par l'absence de
l'atelier, du personnel, parfois encore J*ar les irrégularités dans
l'approvisionnement des usines en bières premières.
V c) L'agitation paysanne, crimes politiques et banditisme.
^'agitation paysanne continue à se manifester sur les différellts points du
territaire soviétique et sous les formes les flus diverses. Des listes de
meurtres, d'attentats, d'actes de vioou de banditisme continuent à paraitre
dans les organes Sses des émigrés, plus particulièrement dans Borba Za
RosyUou, dans Vozrojdenie, etc. Sous le titre « La guerre civile » 0zro)denie
(13-3) énumère en citant les sources des jourt aux soviétiques, toute une
série de crimes politiques, d'acj es terroristes commis sur la personne de
correspondants de cournaux soviétiques, de fonctionnaires, de
propagandistes, de n'nllll tIli stes, de présidents ou de membres de
soviets ru- au*, etc. Parallèlement se trouve une liste des condamna- /?ns
à mort, le nom des personnes fusillées et le lieu où les rlbunaux
soviétiques ont eu à se prononcer. Dans le nombre, Se trouvent des
condamnations à mort collectives et indiviUelles. Parmi les procès ayant eu un
certain retentissement, Con peut citer celui de la bande, dite du «
Troudgouj ».
elle bande, composée d'une trentaine de personnes, pillait pS greniers des
paysans de la région de Novosibirsk, avec appui tacite des préposés
officiels au stockage des blés.
el après la Pravda (27-3), la bande comptait dans ses rangs eteUX koulaks
(paysans aisés), 10 seredniaks (paysans moyens) et 15 bedniaks (paysans
pauvres). Le tribunal a condamné troils des plus compromis à la peine de
mort, onze à une dé- enhon de 5 à 8 ans, les autres aux travaux forcés à
temps.
Un Procès de ce genre où figurent des koulaks a eu pour théâtre le vlnaO"e
de Konev dans le d,stnct de h.amensk, en yi^age de Konev, dans le
district de Kamensk, en et erie : les deux frères Bourmatov, les koulaks
Borovikov et °r()Z0l,k0v qui avaient mis à mort un paysan activiste dé
lat ont été condamnés à mort par le tribunal régional de le. Ayant fait
appel du jugement, le tribunal suprême Ih" la Fédération de Russie a
confirmé les condamnations preconsécruence, les quatre koulaks déjà cités ont
été fusillés (Pravda 23-3).
La lutte contre les koulaks a donné lieu à un décret qui, en I51. °n de ses
particularités, permet de reconnaître les koue décret dont parlent les
Izvestia (24-3), a été rendu le Conseil des commissaires du Peuple de la
République Frédérative de Russie, concernant les exemptions d'impôts
accordées aux paysans qui élargissent les surfaces ensemencées. Ledit décret
prescrit que ces dégrèvements ne doivent en aucun cas s'appliquer aux
exploitations paysannes qui sont entre les mains de koulaks et qu'il est
facile de reconnaître en raison des particularités suivantes : 1°
Exploitations dont le chef loue habituellement des ma- chines agricoles et des
moteurs, à d'autres paysans; 2° Exploitations possédant un moulin, un
outillage pour faire le beurre, une sècherie à pommes de terre, à fruits ou à
légumes, une installation pour carder la laine, etc., lorsque ces
installations et outillages sont mus par un moteur mécanique ou emploient une
main-d'œuvre salariée; 3. Exploitations qui ont pris à bail une étendue de
pâturages supérieure à la superficie accordée aux travailleurs; 4.
Exploitations qui ont pris à bail des terrains de culture jardinière ou
maraîchère, lorsque pour le travail dans ces entreprises on a recours à la
main-d'œuvre salariée.
II. - LA VIE RELIGIEUSE ET « TRADITIONNISTE »
a) La lutte sur « le front religieux ».
La lutte sur « le front religieux » dont il a été parlé dans le précédent
Bulletin périodique de la presse russe s'intensifie, plus particulièrement
contre l'organisation des baptistes et contre le culte orthodoxe. A Moscou,
d'après la Vertchernaïa Moskva (11-3), la « Glavnaouka » ou Direction générale
des affaires scientifiques près le commissariat de l'Instruction publique, a
demandé au présidium du Soviet de la capitale, de mettre définitivement fin à
la célébration du culte dans les anciens monastères de Moscou. Ces monastères,
tels celui du Don, des Vierges, de Simon, ayant été transformés en mu- sées,
la « Glavnaouka » fait ressortir qte la célébration des services religieux,
avec tous leurs accessoires, est en contradiction flagrante avec l'œuvre
culturelle et éducative qu'accomplissent les musées. La presse soviétique
signale d'autre part, la fermeture d'églises et de temples dans différentes
régions de l'Union. D'après le Roul de Berlin (3-4), au cours de l'année 1928,
le nombre des églises fermées au culte sur le territoire de l'Union s'élève à
354; de plus, il a été fermé 38 monastères, 59 synagogues, 38 mosquées.
L'offensive communiste se manifeste également contre la fête de Pâques. Une
campagne s'est ouverte en Russie-Blanche et sur l'initiative des jeunesses
communistes pour instituer une fête dite du « Premier sillon », destinée, dans
les campagnes à remplacer la fête de Pâques. (Bednola, citée par Posliednia
Nowesti 10-4),
1\. Expulsion d'un évêque catholique.
D'après le Roul, organe démocratiqte russe de Berlin (3-4), l'évêque
catholique de l'Extrême-Orient soviétique a été expulsé en vertu d'un arrêté
du Guépéou. Mgr Slivovski est accusé da'voir accepté une décoration du
Gouvernement polonais à l'occasion du 10e anniversaire de l'indépendance de la
Pologne.
2\. Le mouvement antisémite.
La presse des soviets continue à signaler les manifestations d'antisémitisme,
suivies d'excès de toute sorte dans les usines,
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